6 esclaves

Amanece entre dans la salle et ils sont là : les six esclaves mâles alignés, bien droits, mains croisées sur la tête, les jambes légèrement écartées. Ils ne bougent pas, tremblants dans l'attente de la punition qu'ils vont recevoir.

"Branlez-vous !" ordonna-t-elle.

Ils prennent leurs queues dans leurs mains et commencent à se branler. Elle marche autour d'eux, sa cravache en main, frappant de-ci-delà un cul, un dos, une bite, selon son bon plaisir.

"Mettez-vous deux par deux face à face et branlez la queue de votre partenaire. Attention ! Celui qui jouit sera sévèrement puni. Celui qui résiste aura le droit de continuer l'exercice".

Chacun essaye de faire juter l'autre... mais pour l'instant ils résistent tous.

"On change ! Le partenaire de droite se met à genoux et suce l'autre. Quand je crierai 'Assez !', vous inverserez les rôles. Celui qui ne pourra pas se retenir aura droit à 20 coups de cane sur le cul, et des bons coups".

Tous se mettent à suer de peur, mais tous se tiennent à carreau, et chacun résiste à la pipe de son partenaire. C'est alors que les autres Maîtresses entrent. Les esclaves se trouvent tout à coup très gênés d'être vus dans cette position.

"Mesdames, prenez un siège et installez-vous. Ces 6 esclaves ont été surpris en train de se masturber et même de gicler tout leur sperme, alors que cela leur était interdit. C'est l'heure de la punition".

Elles commencent à faire des paris sur l'un ou l'autre. C'en est trop pour les deux premiers qui craquent et qui jouissent sous les encouragements des Maîtresses. Les partenaires des perdants s'évertuent à tout avaler le plus proprement possible.

"Stop ! Tous ceux qui ont joui vont au fond de la salle où ces dames vont gentiment leur donner la récompense qu'ils méritent. Et en rampant, en plus !! Dès que cela sera terminé, vous reviendrez montrer votre joli cul bien décoré aux autres pour les inspirer. Les quatre qui restent ici changent de partenaire et recommencent à sucer."

L'esclave le plus proche d'Amanece, en train de se faire sucer, se met à trembler. D'entendre les cris de ses congénères au fond de la salle l'excite encore plus. Il essaye de penser à des choses terribles et débandantes, mais il sent que sa volonté va bientôt flancher.

A ce moment, il sent une main qui lui sépare les fesses, puis qui le stimule par l'arrière, il sent même sur la peau en sueur de son dos la pression des seins de la Maîtresse. C'en est trop pour lui, qui éjacule alors à grands traits, sans se soucier d'avoir perdu au jeu. Elle se penche sur son oreille pour lui dire :"Au fond de la salle, et en rampant...".

Le couple qui restait se balance vers l'avant et vers arrière, les yeux fermés. Amanece ordonne alors à celui qui venait de gagner sa partie, de s'étendre sur le plancher et de sucer celui qui est à genoux, tout en se frottant le sexe contre le sol.

Elle les fait obéir et les oblige à se mettre correctement en place avec l'aide de la cravache. Les deux autres esclaves, les premiers à avoir craqué, et qui ont été sévèrement punis, viennent montrer leurs culs à l'assistance, pendant qu'on entend les cris perçants du troisième.

Les deux derniers en train de se faire sucer craquent à leur tour en éjaculant à grands jets. Finalement le vainqueur est celui qui était couché sur le plancher.

"Vous deux, ordonne-t-elle, au fond de la salle pour les coups de cane. Et toi, le vainqueur, tu as de la chance. Tu as obtenu le droit d'enculer tous ces beaux derrières tout rouges. Tu vas commencer par le premier de la rangée, puis à mon signal, tu passeras au suivant... Mais attention, sans jouir... sinon, tu recevras 20 coups de cane par esclave qui reste à baiser. Compris ?"

Les cinq esclaves perdants se penchent en avant en tenant leurs genoux. Le gagnant s'approche du premier, lui écarte les fesses et le pénètre. Il a peur de jouir trop vite, mais de voir les 4 culs qui l'attendent, et le nombre de coups de cane que cela représente, il se ressaisit. Pour ne pas penser, il baise son congénère avec ardeur, et il y va à fond.

L'enculé réagit en bandant et en gémissant de plaisir, ce qui provoque les applaudissements des Maîtresses qui voient cette queue se redresser sans que personne n'y touche.

"T'es un sacré coquin, toi !" disent-elles au vainqueur.

"Au suivant !"

Amanece se sent très forte ce soir. Chez elle, la désobéissance et le mensonge n'ont pas de place. Elle a besoin d'esclaves vrais, pas de branleurs qui se cachent pour se frotter la queue. Elle veut des vrais hommes qui lui sont soumis, des hommes fiers qui se mettent à ses genoux et s'humilient devant elle.

Elle continue à taper dans les mains, et le vainqueur passe de l'un à l'autre. Sa queue commence à lui faire vraiment mal d'avoir autant été stimulée. Finalement, il réussit à aller jusqu'au bout et à enculer tous ses congénères.

Les Maîtresses applaudissent à tout va, tellement elles sont ravies du spectacle. Amanece s'approche tout près du vainqueur. Il a baissé les yeux, sa queue est encore toute raide pour elle. Il avait décidé de ne pas jouir, uniquement pour elle, pour lui obéir. Il se sentait humble.

C'était une séance éprouvante, mais même dans son monde, Amanece a compris que cet esclave n'est pas obstiné, qu'il est capable d'obéir, même dans la douleur. Il n'a pas été autorisé à jouir. Elle lit sa déception dans son regard. L'énergie qui passe entre eux deux impose le silence à toute la salle. Seuls les gémissements de certains esclaves s'entendent encore. Amanece prend sa bite et juge de son état, bien raide, mais complètement abîmée par les frottements. Pendant une seconde, il ferme les yeux tellement la douleur est vive.

Elle lève sa cravache, ce qui le fait trembler de tous ses membres, mais il accepterait même cela. Finalement, elle lâche son sexe.

"James, je VEUX que tu jouisses, maintenant !"

Immédiatement, le sexe de James se met à éjaculer tout son sperme, sans que personne ne le touche, uniquement par obéissance à un ordre. C'est si sublime que tout le monde est fasciné.

"A genoux, et nettoie moi toute ce jus avec ta langue." James nettoie tout son sperme répandu sur le sol et se prosterne devant sa Maîtresse pour qu'elle puisse reposer son pied sur son visage.